Les p’tis bureaux – espaces de travail partagés

Un contrat local pour l’espace de travail partagé, appelé partout ailleurs « coworking » mais pas dans le choix langagier du Moulinage de Chirols !

En partenariat avec la Maison de Vallée – Espace de Vie Sociale de Burzet – J’ai peu réaliser l’affichage extérieur du lieu, dans le cadre du Tiers-lieu des Vallées…

Utilisant une des nombreuses plaques galvanisées récupérées sur site, j’ai un tantinet modifier le code couleur du logo, réalisé un agencement des éléments textuels. Les informations modifiables sont à inscrire sur des plaques aimantées & donc amovibles.

Merci à Christelle pour sa confiance et au Moulinage pour cet incroyable lieu d’échanges et de partages !

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Le Bistrot Brioude

Le restaurant gastronomique de Claude Brioude, à Neyrac-les-bains est une très belle adresse locale. L’enseigne fait partie des « toqués d’Ardèche » et défend une cuisine locale, de saison, fraiche et recherchée. J’aurai du mal à mieux le vendre !

L’hôtel du Levant est une adresse familiale et Claude est la troisième génération de chef, la maman est aussi au service et le frère de Claude, Alain propose un service aussi attentionné que passionné !

La rencontre a été riche et simple, des références communes, des valeurs proches et l’attrait pour un « fait main » qui donne une singularité à la prestation.

J’ai raté le coche lorsqu’il m’a proposé de découvrir sa carte pour connaître son travail, comme il a pu découvrir le mien sur cette plateforme notamment…En effet, j’avais déjà eu l’occasion de profiter de son talent à quelques reprises, je ne pouvais légitiment pas me faire inviter alors que je connais son travail et l’apprécie, ô combien !!

J’ai donc travaillé à un logo et une ambiance graphique liée aux typographies qu’il utilise déjà. J’ai fait quelques propositions qui ont vite rencontrées sa validation

La première esquisse fut la bonne !

La commande s’est acrémentée de deux ajouts sur les vitrines de la porte d’entrée. Le logo trouvait quant-à lui sa destination sur la grande vitrine, face à l’entrée. Un des dessins ajouté était le portrait des deux frères en « ligne claire », après quelques heures d’infographie, j’ai abouti à ce visuel.

Un très bel emplacement, une typo bien droite, une adresse prestigieuse, voilà la pression !!

la réalisation finale

Merci Claude pour ta confiance et merci à la famille Brioude pour leur soutien !

bien à vous.

Un poulpe en anamorphose

L’adresse estivale des marseillais en goguette au Vallon des Auffes est sans aucun doute le VIAGHJI DI FONFON. Forts de leur succès, ils agrandissent les murs pour faire place à une cuisine ouverte sur la salle. L’ambiance des espaces et leur décoration est confiée à Maëlle Fouilland (Salut à toi!) du Pois Chic. Maëlle m’avait déjà fait confiance pour « Chez Jeannot » LA pizzeria de ce même Vallon réputé.

La configuration des murs à peindre, la volonté d’y poser un poulpe dans un style proche des gravures m’a permis de proposer illico une anamorphose ! Même si les distances de visualisation étaient courtes, les angles proposés, l’exploitation du plafond, se prêtaient à cette exercice de déformation…Qui plus est pour un céphalopode !

L’autre partie du contrat consistait à calligraphier une phrase sur un bandeau horizontal. Cette avancée sera, dès la semaine prochaine, habillée de jambons, saucissons et autres salaisons avant de garnir les assiettes de tapas bien connues des clients.

« La faim fait sortir le loup de sa tanière » proverbe Corse

un STOP-Trottoir !

Voilà un exercice intéressant, bordé de contraintes autour d’un espace d’expression.

Les directives de Fred, pour « La salle à Manger » (56 cours Julien), étaient assez proche de la carte blanche !

Il m’envoie des images de ce qu’il aime bien, je m’en inspire, je propose, il valide ! C’est assez simple de travailler avec Fred ! merci à toi !

La commande cette fois-ci est donc celle d’un stop-trottoir. Il s’agit d’être lisible, saisissant et attrayant, tout en donnant une image de l’ambiance souhaitée par le lieu…ça, c’est le cahier des charges que j’imagine pour un tel outil de communication.

Un stop-trottoir, c’est donc cette ardoise en deux parties postée devant les restaurants pour annoncer le menu ou à tout le moins pour arrêter le chaland.

Ainsi fût, à cela prêt que nous n’avons pas souhaité annoncer le menu, mais communiquer sur l’image du restaurant.

* Alors que j’écris cet article, un peu plus tard que sa réalisation, certes, ce fameux stop-trottoir a été volé… Je ne pensais pas que c’était susceptible d’être volé, mais puisque tout se vend, présumons que tout se vole….Je ne suis pas sur que ce soit pour ma réalisation – ce que je trouverai plutôt flatteur – mais plus probablement pour une réutilisation par quelque restaurateur peu scrupuleux, sinon, comme étendoir, ou tableau à dessiner pour des enfants, à la limite…

Dommage, il n’en reste que cette photo.

Pour l’heure, je m’attelle à une nouvelle réalisation pour la deuxième version du stop-trottoir, sur un modèle d’environ une-tonne-cinq en métal, qui devrait résister aux excès de possessivité !

 

allez, bisette !stop trottoir SàM

Une « impression » de déjà-vu ?

monsieur major

Je connaissais le meuble (cf. Chez Jeannot) !

D’ailleurs il a été conseillé par la même Maëlle FOUILLAND pour réaliser la banque d’accueil de « Monsieur Major » qui siège au rez-de-chaussée de la Maison BUON (86 rue Grignan, 13006).

Je remercie Maëlle de penser à moi pour les travaux de lettres, mais s’il te plaît ne conseille plus de meuble en bois brut ! Peindre sur ce support est un enfer, même si le patron de la Maison, avait fait poncer préalablement le support (merci à lui !)

N’hésitez pas à visiter l’ancien Misraki, avec son restaurant (chez Jeanne), sa galerie éphémère, maintenant sa conciergerie, et peut être avant tout, je vous conseille le caviste « La cave des papilles » de la Maison pour sa sélection de vins naturels et petits producteurs…

 

Non rien …!

20170311_164808-01Juste pour dire que j’ai fait une garamonde en château d’sable !

Et qu’il est possible que je ponde tout l’alphabet pour peu que je reste quelques heures sur une plage cet été….je veux bien de l’aide ! une sorte de défi collectif, on détermine un alphabet et on s’y tient….c’est éphémère, chronophage, inutile….Tout ce que j’aime !

« la salle à manger »

Chouette ! un marseillais qui tombe sur mon blog en cherchant « peintre en lettres/marseille » et hop, une rencontre bien sympa avec Fred.

Il ouvre un resto au Cours Julien à Marseille (5ème) et s’interroge sur un nouveau nom avec sa copine Faïza, et là, au cours de la discut’ ils tombent d’accord sur ce nom que je trouve parfait.

J’ai ajouté la photo du travail préparatoire de cotation des typo (la fameuse leçon dtirée d’une façade précédente…) et voila que M. Garamond passe à l’échelle *4 pour que ses précieux empattements s’alignent sur 4 mètre par 70 cm.

J’ai opté pour un fond bois brut lasuré et teinté dans l’esprit de leur très belle adresse.

Je ne peux que vous conseiller le brunch du week-end qui est bio-frais-local bref, on ne souhaite pas mieux !

J’espère peindre leur devanture vitrée dans un style bien rétro, en doré et blanc…..time will tell…

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In SMACK we trust !

Un bien beau contrat que celui-ci. Un très bel espace de co-working à la préfecture (Marseille 6ème). Daphné est le queen des lieux, son projet a enflammé mon imagination ! Imaginez, 3 étages des bureaux vastes et des pièces de réunions à tous les niveaux, une ambiance graphique à rechercher pour chaque espace….

Génial, j’ai fait un cahier entier de crobards et….un seul a été retenu à cette étape de notre collaboration mais j’ai bon espoir de peindre sur tous les murs de SMACK !

J’ai travaillé ici avec une mise à l’échelle des caractères, ce qui demande pas mal de tracés préalables pour un résultat plutôt propre.

CHEZ RORAIMA

20161120_164237-01Le temps passe et je le prends à présent pour actualiser quelques réalisations…

Cette façade, réalisée pour une céramiste marseillaise, m’a appris beaucoup de choses, pour avoir bien failli renoncer à cette pratique contraignante de la peinture en lettres !

J’ai fait ici des fautes que je pense et j’espère ne plus reproduire à l’avenir. Je remercie Judith pour ce contrat qui m’a demandé beaucoup de temps et de retouches !

Il n’en paraissait pas grand chose comme ça mais les commandes rigoureuses demandent au peintre de l’être (de lettres) et les contrats qui ont suivis sont l’expérience de celui-ci tout particulièrement.

Co-working et rôtisserie !

 

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Cela fait quelques temps que nous échangeons des tracés de lettres sur papier avec mon ami Jérôme…Nous essayons du matériel, nous faisant languir sur les recherches de l’un et les trouvailles de l’autre.

Et puis, lorsque Jérôme me propose de peindre la devanture de sa « cantine », je lui propose que cela se fasse ensemble ! Il est précis, exigent, minutieux et aime tout autant dégoter des typos, voila la possibilité de se jeter sur une réalisation en duo chacun avec ses expériences et ses exigences (exercice de diction)

Une vitrine…!

Le support parfait pour parfaire !

On a pas mal bossé la version papier, des typos – bien sûr – une gestion de l’espace pour dissimuler ou mettre en avant des espaces, et enfin trouver une date pour réaliser le plan….Merci Cécile pour la logistique ayant permis de passer 8 heures sur l’échelle !

Pour qui redoute d’avoir trop chaud, le mois d’octobre, son vent et sa pluie sont un ravissement pour les temps de séchage et l’inconfort ! En réalité, le réel inconfort est venu de la différence thermique et olfactive entre dedans & dehors… Imaginez : Dehors, un axe de circulation (pas mal pour notre boulot…une fois fini!) une météo proche d’être exécrable. Dedans, la douce chaleur de la rôtissoire et du four, en activité pour cuire à point des poulets et des gratins divers… Et nous, circulant entre l’un et l’autre, alternant entre salir les pinceaux et les nettoyer, sans s’octroyer une pause rôti/gratin qui nous faisait diablement envie !

Ca, c’était pour se faire plaindre un peu, mais pour expliquer aussi un peu le contexte !

Au final, un travail assez propre, malgré les typos de dernières minutes même pas calibrées parce qu’on n’avait plus le temps…un client vaguement satisfait : « ah bon, je ne peux plus laver mes vitres à l’alcool ? » et un nouveau duo !

Quoi qu’il en soit, je suis satisfait, j’ai pu dessiner mon regretté PX !

Et le plus important, c’est qu’on a trouvé un binôme plutôt sympathique pour lequel un nom est apparu… « LOREM IPSUM » peintre en lettres…

J’aime bien l’idée de « remplir du texte », valorisant la mise en page et le choix typographique…ça colle bien ! Après tout, peut importe d’écrire PIZZERIA/MENUISERIE ou BOUCHERIE/PLOMBERIE, tant que les glyphes ont du styles…et ceux-ci en ont ! Merci Jérôme !

 

notes de bas de pages non référencées :

.un  PX

. le LOREM IPSUM